Avoir un enfant c’est l’un des grands maux que puisse nous jeter la nature. Ça, on peut le crier partout. Avec raison. Mais en loupant ce malheur, on passe à côté du bonheur qui n’est sûr que chez eux, les enfants. Celui de se sentir important. Et ça malgré tout.
Au-delà de ces quelques mots on verra tout le monde les prendre pour des casse-têtes ou même une bêtise naïve quand on s’en occupe vraiment, sans pouvoir nier ce petit bonheur quand on regarde tout son travail s’omnoler ou ce mal immense quand on réfléchit au courage que cette petite innocence nécessitera pour surmonter cette vie. Et c‘est pour leur insuffler ce courage qu’on les gronde parfois jusqu’à les taper. Et ces tapes, pour les parents, ne sont pas un mal. Non non! Car ils ne tapent pas leurs enfants. Ils les aiment trop pour cela. Mais ils tapent leurs échecs qu’on voit étendu dans leurs faits, leurs actes. Et toujours, ce qu’on ne comprend ou que l’on nie c’est que ce n’est pas la méthode la plus sûre. L’une des plus pratique est celle de la plurale-personnalité. La plus grande des taches qu’on applique à chaque levant. Etre l’ami, le parent, le bourreau ou ce qu’il faut au temps qu’il le faut pour l’enfant. Etre parent! Un bon! C’est donc l’une des tâches des plus difficiles. Et qu’on se mette d’accord la-dessus un enfant, voilà la limite de tous. Et ça même face aux coeurs de pierre. Pour les humains bien sûr. On voit mal le regard d'un enfant effacer la faim d'un lion. Dieu non!
Ce qui n’affirme pourtant qu’on veut fuir cette tâche. Bien qu’accablante! D’ailleurs on a beau se plaindre de son enfant et son hyperactivité, on le connaît tous, ce sentiment qui nous écorche quand ils ne sont pas là. Nombreux diront que c’est l’habitude. Ce qu’on ne réfutera pas car, l’amour dépasse bien ce particulier. C’est donc ce genre de fardeau qu’on aime bien porter. Ce genre d’amour qui pousse á écrire un article avec deux petits-coeurs-battants contre son torse face à l’appel de cet amour qui détruit l’égoisme en soi.
En ce qui concerne le principe de l’oiseau qui quitte son nid, éppris d’autonomie. C’est le genre de chagrin qu’arrive à bien supporter un coeur fier... Non de soi! Non! Mais de ce qui importe vraiment. Ses amours... Les plus sûres. Donc sans vraiment inciter à en faire, faisons de notre mieux pour assumer leur existence. Dans le possible des possibles.
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