Connu généralement pour les blagues qu’inspirent ce personnage, en dehors de ses mandats incessables au Zimbabwe, Robert Mugabe veut inculquer à une jeune américaine de 25 ans, Martha O’Donovan, ce que peut bien dire le mot respect. Et oui ça peut avoir un sens jugeable de dictat à cause des accusations contre la subversion mais la question d’insulte envers le president devrait mieux nous importer, même si le gars de l’office n’est pas un modèle. D’ailleurs on connait tous l’effet Mugabe !
Travaillant pour Magamba TV, elle use de son compte twitter pour insulter le président : le traitant de malade sans diagnostics, de lutin ou de gaspillage des biens du peuple et pis.
Suivie de loin au Zimbabwe pour ses insultes à l’endroit du Pr depuis plusieurs années, un ministre de la cyber-sécurité amême été nommé.
Le problèmeest que le pouvoir en place tient l’ambitiond’étouffer la voix du peuple, ça, tout le monde est d’accord pour affirmer que c’est presqu’inconcevable mais, en dehors de toutes revandications il y a une facon de dire. Et c’est cette facon de dire qui devrait pouvoir parler. Des ministres de la cyber-securite ?
Oui ça devient un plan d’intérêt global ! Non pour opresser le pouvoir parler mais, d’éteindre l’abus de ce pouvoir. Pour la lutte contre l’opression c’est déjà bien de dire #FreeMartha mais disons aussi #wemustlearnrespect. Le mauvais usage du web fait trop de malheur. Allant des messages jusqu’aux publications de documents relatifs à la vie privée de trop de personnes. Ainsi apprenons le mot respect ! Non pas forcement par la voie carcerale mais le travail est à faire. Aujourd’hui Mugabe n’est plus président, et ça ne doit rien changer sur ce problème.
Le blog de la libre publication d'articles, de format et de type, divers. Par Jn-JACQUES Dimitry
23 janv. 2018
Robert Mugabe ou parodie d'un Toto africain
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